Comme nous en parlions ici récemment, depuis plusieurs semaines et surtout depuis la polémique lancée par la femme jalouse de sa nouvelle union, Diam’s est la proie de toutes les rumeurs et de toutes les critiques. Elle est prise en photos portant le voile devant la mosquée de Gennevilliers, et le scandale éclate. On l’accuse d’avoir caché sa conversion à l’Islam. On prétend son mari déjà marié. On la dit enceinte. Qui veut la peau de Diam’s ?
Résultat : la jeune femme préfère se consacrer à son public, et ne s’adresser qu’à lui. La presse est boycottée. Les paparazzis n’ont qu’à bien se tenir et les journalistes à vérifier leurs infos. Lors du concert qu’elle donne à l’Olympia à guichets fermés, la presse n’a pas le droit de citer. Le retour de bâton est immédiat : les journaux profitent de leurs colonnes pour critiquer la chanteuse. Jalousie, quand tu nous tient…
C’est normal que la presse se vexe. Diam’s, à travers ses scandales et ses rumeurs, a vendu du papier. Qu’elle renonce à jouer le jeu plus longtemps est une humiliation difficile à encaisser pour les gratte-papiers sans talents ni respect. Ce qui a fait le succès de la chanteuse, ce n’est pas la presse, c’est son public. C’est à lui qu’elle a toujours été reconnaissante, à lui qu’elle doit tout, et à son talent. Les colporteurs de mauvaises infos, qui s’excitent à la première rumeur, ne sont pas les bienvenus. Nous la comprenons et nous la soutenons.